Cinquante ans après le vote de la loi Veil, cette pratique, moins contraignante et plus accessible que la méthode chirurgicale,
Dans un numéro élargissant le débat sur le sort des œuvres culturelles à l’immatériel, « Gradhiva », la revue du Musée du Quai Branly, se penche sur les logiques de transcription et de circulation de la littérature