Cette rétrocession fait suite à la décision tchadienne de rompre les accords de coopération militaire avec la France, jugés « obsolètes »
En reprenant à son compte la rhétorique de l’extrême droite, le premier ministre valide son constat anxiogène et donc lui donne le point, estime, dans sa chronique au « Monde », la journaliste Solenn de Royer. Source